Premières critiques

Merci bien pour vos commentaires, nous en tiendrons compte. Nous ne comptons pas nous arrêter à la 3e édition, rassurez-vous.

En revanche, si la vision personnelle du journaliste transparait, c'est volontaire. L'Avenir n'a pas vocation à livrer des informations relativement brutes et objectives comme peut le faire l'AAP, mais bien à livrer une analyse, forcément partiale, de l'actualité. L'article ne peut en être que plus intéressant selon nous. Bien sûr, il ne s'agit pas de se lancer dans des diatribes sans fin qui ne s'appuient sur aucun fait, ni de glisser des sous-entendus malsains.

Nos articles ne sont pas écrits pour plaire à tout le monde. Ceux qui adhérent à nos idées y trouveront leur compte et ceux qui n'y adhérent pas y trouveront au moins quelques éléments de reflexion, du moins c'est le but.

Mais effectivement, l'idée de prendre deux personnes de point de vue divergents pour s'exprimer sur un même sujet est tout à fait intéressante et nous essaierons de la reprendre dans un proche Avenir.

De même, des personnes ayant des idées différentes voire opposées au nôtre pourront tout à fait avoir voix au chapitre dans des tribunes spéciales.

N'hésitez-pas à continuer à donner votre avis.

C'est bien écrit, drôle, satirique, peut de fautes d'orthographes.

Quelques problèmes: les articles sont parfois un peu long, cela peut décourager certaines personnes de le lire ou alors on s'arrete en route.
Certains articles sont coupés lors du passage du colonne à l'autre (par ex: article sur l'abbaye.

Je pense que c'est plus un magasine qu'un journal, vous devriez le dire.

A quand un article pour la Bretagne?

Vous êtes de droite ou de gauche?

Merci de vos commentaires.

Pour la longueur des articles, effectivement, nous allons y remédier.

Pour l'article coupé au passage, il n'y en a qu'un à ma connaissance, la fiche pratique du connétable se mélangeant à l'interview du père Agami, nous essaierons que cela ne se reproduise pas.

Nous ferons volontiers des articles sur la Bretagne quand nous aurons un envoyé spécial là-bas, et même peut-être avant.

Et enfin, pour le magazine, ce n'est pas un terme très médiéval... C'est pour cela que nous préférons journal.

Par ailleurs, si vous trouvez que notre journal vaut la peine et se démarque des autres, n'hésitez pas à en parler autour de vous, nous comptons davantage sur le bouche à oreille que sur de la publicité massive sur les gargotes qui énerve (à juste titre) censeurs et lecteurs.